
G-ON Life est notre solution de mesures statiques et dynamiques de santé et confort dans les bâtiments selon les protocoles les plus fréquemment développés (décrets pour les ERP, certifications HQE, BREEAM, WELL) :
Employeurs et gestionnaires d’établissements doivent se conformer aux obligations légales selon les lieux gérés : Code du travail et exposition aux polluants chimiques, Etablissements Recevant du Public sensible et Décret n° 2015-1926 du 30 décembre 2015.
L’employeur est tenu par la loi de prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale de ses salariés (article L. 4121-1 du Code du travail).
Etant donné que nous passons plus de 90% de notre temps dans un environnement clos, notre santé est à la merci de notre cadre de vie ! Et les risques peuvent être nombreux : émergence de maladies chroniques, syndrome du bâtiment malsain, problèmes de concentration, contamination par les virus, etc.
Il parait évident de suivre la consommation énergétique d’un bâtiment ou encore de suivre sa santé personnelle. De la même façon, mesurer les paramètres de confort et de santé dans un bâtiment permet d’identifier des solutions utiles pour améliorer son cadre de vie.
Ces expertises se déclinent selon des modes d’interventions variés, adaptés à vos projets.
La qualité de l’air intérieur joue un rôle essentiel. Les polluants de l’air intérieur sont de nature diverse : composés organiques volatiles (COV), particules en suspension, bactéries, moisissures, tabac… Une mauvaise qualité de l’air intérieur peut être à l’origine d’une détérioration de la santé (irritations, asthme, allergies, maux de tête, somnolence, syndrome des bâtiments malsains, etc). À l’échelle d’une entreprise, les polluants intérieurs et une ventilation insuffisante conduisent à une réduction des performances des collaborateurs, mesurée par leur rapidité d’exécution des tâches et leur capacité à se concentrer. Des tests en conditions de travail montrent par exemple une augmentation de 2,5 à 5% des performances lorsque l’on augmente les taux de ventilation à émission constante de COV dans la pièce.
La qualité de l’eau est un enjeu sanitaire pour les usagers d’un bâtiment. Une eau est dite de qualité sanitaire dès lors qu’elle respecte les critères de potabilité et d’aptitude pour la toilette. La qualité de l’eau peut être altérée de différentes façons : contamination biologique, modification des caractéristiques physico-chimiques, ou encore altération du goût, de l’odeur ou de la couleur. Les risques sanitaires pour les occupants du bâtiment sont alors l’exposition à des polluants ou des agents pathogènes par ingestion (exemple : germes), par inhalation (exemple : légionellose) ou par contact cutané. En France, les risques sanitaires liés à la qualité de l’eau ont fortement diminué du fait des mesures et suivis régulièrement effectués. Pour autant, chaque année, entre 1300 et 1500 cas de légionellose sont encore notifiés aux autorités.
L’ambiance visuelle correspond à l’environnement visuel lié à la fois à l’éclairage (naturel ou artificiel), à la limitation de l’éblouissement et des reflets, et au choix d’ambiances à l’intérieur des locaux. Au-delà du niveau d’éclairement, la qualité lumineuse est également à considérer. L’ambiance visuelle conditionne la capacité des usagers à effectuer leurs différentes tâches et à comprendre les informations visuelles qui leur sont fournies. Elle joue plus globalement un rôle sur l’humeur et le bien-être. A l’inverse, de mauvaises conditions peuvent conduire à de la fatigue, à une détérioration de l’acuité visuelle ou encore à des accidents. Enfin, la lumière bleue perturbe notre rythme biologique et notre sommeil.
L’ambiance acoustique traduit l’environnement acoustique d’un lieu et l’impact qu’il génère sur les occupants. Elle conditionne la capacité des personnes à comprendre les informations auditives (conversations, messages sonores…) qui leur sont fournies. L’ambiance acoustique a également une influence sur l’humeur, les relations entre les personnes et même la santé. En effet, les environnements acoustiques dégradés sont facteurs de stress et de nervosité, et nuisent à la concentration et aux capacités cognitives. Or selon le baromètre Actineo/ CSA 2015, 57% des collaborateurs interrogés indiquent être souvent gênés par des nuisances sonores liées à leur entourage.
L’ambiance thermique correspond au microclimat qui règne à l’intérieur des locaux, et notamment au poste de travail. Celui-ci peut varier d’une zone à une autre et affecte le ressenti de l’utilisateur. Cette ambiance thermique dépend de la température, de la vitesse de déplacement de l’air, de l’humidité et du rayonnement thermique (température radiative des parois et équipements). Pour des paramètres identiques de l’environnement, le ressenti varie suivant les individus en fonction de leur niveau d’activité physique, de leur habillement et de leurs caractéristiques physiologiques. 51% des collaborateurs se plaignent de problème de température ou de climatisation, selon l’enquête Actineo 2015. Or, une ambiance thermique dégradée génère de la fatigue et des troubles variés, sources de perte de productivité. Selon Seppânnen et al. (2003), au-delà de 25°C, une augmentation de 1°C de la température génère une baisse de la productivité de 2%.
Les ondes électromagnétiques sont aujourd’hui adressées par la directive européenne de 2013 et sa traduction dans le décret du 3 août 2016*. Des rapports contradictoires viennent aujourd’hui confirmer ou contredire l’impact sanitaire des ondes électromagnétiques selon la puissance et la durée d’exposition. À l’heure actuelle, le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) a classé les champs électromagnétiques de radiofréquence dans la catégorie des cancérogènes possibles pour l’homme (Groupe 2B). Le principe de moindre exposition conduit à chercher à adapter les aménagements et à adopter des pratiques simples pour en réduire la part d’exposition superflue.
* Décret n°2016-1074 du 3 août 2016 sur l’exposition des travailleurs contre les risques relatifs aux champs électromagnétiques.
Il s’agira d’abord de proposer l’analyse d’échantillons de surface pour détecter la présence du SARS-CoV-2.
Cette analyse fournie des informations importantes sur l’efficacité des mesures d’hygiène.
Les prélèvements sont réalisés sur toutes les surfaces pertinentes. Par exemple les surfaces de travail, les équipements de travail, les postes de travail informatiques, les rampes, les téléphones, les poignées de porte, les vestiaires, les postes de travail, les salles de repos, etc.
Il s’agit aussi de détecter le SARS-CoV-2 dans l’air pour prévenir des chaînes d’infection. Même si un risque négatif n’élimine pas le risque d’infection, l’analyse préventive permet de détecter de potentielles chaînes de transmission.
G-ON propose la vérification du fonctionnement des installations à partir des 3 indicateurs suivants :
Siège : 24 rue du Gouverneur Général Éboué 92130 ISSY-LES-MOULINEAUX
Tel : +33 (0)1 85 42 23 66
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