1. La QAI influence directement la productivité des collaborateurs
Des études montrent que la qualité de l’air intérieur a un impact direct sur la productivité des employés : l’amélioration de la ventilation et la réduction des polluants peuvent augmenter cette productivité de 11 %. Un air pur et bien ventilé permet une meilleure concentration, réduit les maux de tête et la fatigue, et améliore les performances cognitives. À l’inverse, un air de mauvaise qualité peut entraîner une baisse significative de la productivité.
2. Les polluants intérieurs sont plus concentrés que les polluants extérieurs
Selon l’Agence de Protection de l’Environnement des États-Unis (EPA), les niveaux de certains polluants peuvent être de 2 à 5 fois plus élevés à l’intérieur qu’à l’extérieur. Parmi les principaux polluants, on retrouve les composés organiques volatils (plus communément appelés les COV), le radon, le monoxyde de carbone ou encore les particules fines qui proviennent souvent de matériaux de construction, de produits de nettoyage, et de l’activité humaine.
3. La QAI affecte la santé à long terme
Une mauvaise qualité de l’air intérieur ne cause pas seulement des désagréments à court terme comme des irritations des yeux et de la gorge, elle peut aussi avoir des effets à long terme. Des expositions prolongées à des polluants intérieurs peuvent conduire à des maladies respiratoires, des maladies cardiaques, et même certains cancers. Il est donc crucial de maintenir une bonne qualité de l’air pour protéger la santé des occupants des lieux de vie sur le long terme.
4. La végétation intérieure peut améliorer la QAI
Les plantes d’intérieur ne sont pas seulement esthétiques, elles jouent aussi un rôle dans l’amélioration de la qualité de l’air (et sur le moral, mais ça on en parle plus en détails dans notre article sur la biophilie). Certaines plantes comme le lierre, le ficus, et le philodendron sont particulièrement efficaces pour absorber les polluants et augmenter le niveau d’oxygène dans l’air. Intégrer des plantes dans les espaces de travail peut donc être une solution naturelle pour améliorer la QAI.
5. Les innovations et les certifications sont en pleine expansion
Avec la prise de conscience croissante de l’importance de la QAI – qui est, admettons-le, exponentielle depuis la 1e vague du Covid en mars 2020 -, innovations et certifications se multiplient pour aider à maintenir un air intérieur sain.
Car monitorer la QAI, c’est possible mais cela nécessite l’utilisation de micro-capteurs multi-polluants dédiés permettant de surveiller les paramètres de confort (T, HR, CO₂) et de qualité de l’air intérieur en continu afin d’anticiper toute dérive du bâtiment. Cette technologie permet d’informer les occupants de la qualité sanitaire des espaces et du confort. Ainsi, il est possible de consulter en temps réel, depuis un smartphone ou un site internet, les données des mesures. Ces dispositifs permettent également de piloter les équipements du bâtiment (système de ventilation et de conditionnement de l’air, épurateur,…) si l’un de ces paramètres venait à dépasser les seuils de tolérance.
En parallèle, les certifications telles que WELL, LEED, OsmoZ ou encore Fitwel encouragent les entreprises à adopter des pratiques et des technologies qui améliorent la QAI. Ces certifications établissent des normes rigoureuses pour la conception, la construction et l’exploitation des bâtiments afin de garantir un environnement sain pour les occupants.
Chez G-ON Life, nous comprenons que la qualité de l’air intérieur est un pilier essentiel de la qualité de vie au travail. Agréé WELL Performance Testing Organization, et récemment qualifiée OPQIBI 0908 dans la catégorie « Diagnostic qualité de l’air intérieur », nous avons déjà optimisé les conditions de confort, de santé et de bien-être dans les bâtiments et les lieux de vie de plusieurs centaines de milliers de salariés !
Ne sous-estimez pas l’importance de la QAI – elle pourrait bien être la clé pour un lieu de travail plus sain et plus productif.